Kimberley, pendant une semaine avait donc été sequestré par un malade mental qui rendait responsable Kimberley, Katarina, Dean, Valentin & Summer de la mort de sa petite soeur, il y a de ça quelques années. Pourtant, Kimberley ne connaissait même pas cette fille et ne lui avait jamais parlé, mais pourtant elle avait eut le malheur de ressembler à cette fille. Tout ça pour ça. Elle avait perdu son bébé à cause d'une simple ressemblance, elle avait souffert pendant une semaine à cause de cette fichue fille qui avait décidé de se suicider. Elle pensait mourir, et elle était encore là, présente mais elle était tout de même comme morte intérieurement, décédée. Il lui faudrait sûrement un moment avant de retrouver sa joie de vivre habituelle et encore plus pour se remettre de cette fausse couche. Malgré le fait qu'elle avait eu une grosse hésitation sur la grossesse avant de se faire enlever, elle se disait maintenant qu'elle voulait absolument cet enfant, elle l'aimait et il faisait parti d'elle. Tous ces gens qui venaient la voir dans sa chambre essayaient de la consoler en lui disant qu'elle mettrait du temps à s'en remettre mais qu'elle s'en remettrait un jour, tout ce qu'elle avait envie de faire, c'était leur dire de sortir de sa chambre et de la laisser tranquille. Mais elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas parler et encore moins pour s'énerver. Le pire était qu'elle ne pleurait même pas, elle ne faisait rien. Aucune larme ne voulait sortir et encore moins une parole. A la limite, le seul qui pourrait lui arracher une parole ou même voir un sourire serait Justin ou Katarina puisqu'elle avait vécu la même chose qu'elle. Pourtant, Justin n'était pas encore venue et Kimberley avait peur; si ça se trouve, il était au courant qu'elle avait perdu le bébé et il lui en voulait. Mais il vint, vers 8Hoo du matin, ce jour - là, en entrant tout doucement dans la chambre. Kimberley était face à la fenêtre en train de regarder dehors tout en essayant d'enlever ses pansements qu'elle ne supportait pas. Kimbou' se retourna d'un seul coup, ayant eu peur, puisqu'elle était toujours sur la défensive depuis l'incident. Mais lorsqu'elle découvrit Justin, elle ne réalisa pas tout de suite, qu'il était là, devant elle. Elle pensait mourir et ne plus jamais le revoir et il était là, en face d'elle. C'est à ce moment - là qu'un torrent de larmes lui monta aux yeux. Elle eut un déclic et commença à pleurer comme jamais elle n'avait pleurer. Elle s'accroha à lui pour le serrer contre lui de toute la force qu'il lui restait encore.
Elle se remémora tout un tas de choses au sujet de Justin et elle et pensait maintenant qu'elle allait profiter de tous les instants avec lui. Lorsqu'elle avait crut ne plus jamais le revoir, elle repensa au fait qu'ils n'auraient jamais pu avoir cet enfant ensemble ou n'importe quel autre, qu'elle ne pourrait plus jamais l'embrasser, plus jamais le voir sourire, et jamais se fiancer ou se marier avec lui. A toutes ces pensées, elle s'écarta un peu de lui pour l'embrasser amoureusement et pleinement. Puis Justin lui murmura qu'il avait eut peur de la perdre, évidemment Kimberley aussi et elle voulait le lui dire; mais aucun son ne voulait sortir. C'est donc avec beaucoup de mal qu'elle prononça :

" Moi aussi, j'ai cru mourir et ne plus jamais te revoir. J'ai eu peur. Je t'aime, je t'aime plus que tout. "

Puis elle baissa le regard sur son ventre. C'était la chose la plus difficile au monde à dire. Comment dire ça ? Comment allait - il réagir ? Kimberley, elle, s'était énervée, elle s'était levée de son lit d'hôpital et avait commencé à tout jeté en l'air. Les médecines et des infirmières avaient été obligé de la tenir pour la calmer. Mais Justin aurait sûrement une réaction plus violente. Ses yeux devinrent alors vitreux et sa gorge se noua.

" Justin ... il ... il nous a enlevé notre ... enfant. "

La voix de Kimberley se brisa à la fin et elle se laissa tombé par terre, non pas sur la chaise mais elle s'asseya par terre et commença à pleurer sans pouvoir s'arrêter. Justin lui, ne réagit pas tout de suite, tellement la nouvelle l'avait frappé. Cela leur montrerait donc à tous les deux qu'ils ne fallait plus qu'ils attendent, plus qu'ils se cachent des choses, plus rien de tout cela.